La vraie beauté

Publié le par Marco Rugo

Dans notre univers contemporain et carcéral, voué entier au mercantilisme et à l'insignifiance (ce sont là des paroles de feue Christiane Singer tirées de son bouquin "Où cours-tu ? Ne sais-tu pas que le ciel est en toi ?"), saluons la marque Dove qui ose scier la branche sur laquelle elle est assise. Pour preuve sa campagne Initiative vraie beauté - Fonds d'estime de soi.

Visionnez la vidéo ci-dessous qui dénonce les manipulations des médias sur l'image de la femme qui, hélas trois fois hélas et comme le disait si bien feu mon prof' de français, vieillit tandis que l'homme lui mûrit... Ce qui n'empêche pas certain de s'inquiéter de leurs cheveux qui disparaissent tragiquement (Boris Ducon appréciera ;-) sans parler d'autres...

 



Publié dans Commentaires

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Z
Monsieur Rugo,<br /> Au sujet de la vraie beauté, vous auriez dû prendre place dans le dernier catalogue d'Ackermann, car votre tenue de ski semble avoir fait fureur sur les pistes de Sky.<br /> Il semblerait, selon nos sources, qu'une carrière de boulanger à la Pagnol vous attend. En effet, au lieu de prendre le rôle de la "Femme du Boulanger" (ceci vous changera de l'habitude - comprendra qui pourra), celui-ci du bon boulanger vous irait à ravir.<br /> De plus, votre récente prise de poids (+ 4 kg) est un argument de poids dans cette future carrière qui s'avère prometteuse.<br /> Nous tenons à remercier M. Samuel quant à cette information.
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B
Ainsi donc Monsieur Rugo, par ce commentaire vous relevez une question qui mérite d'être posée : <br /> "La femme mérite-t-elle au sens physique du terme le regard qu'on lui porte ?".<br /> Si l'homme la prédestine à subir autant de modifications, son existence physique est-elle fondamentalement pertinente ?<br /> A défaut de vouloir découvrir le fond, le sexe dit faible sera voué encore et toujours à une pérenne violation de son apparence à défaut de vouloir en découvrir le fond.<br /> Elle sera toujours et encore sujette à l'hégémonie du silence jusqu'au jour où consciente de son inexistence, elle prendra les armes.<br /> Bien à vous,<br /> B. Ducon
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